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L’Observatoire de la Côte d’Azur

est un EPSCP Grand Etablissement, « établissement composante » d'Université Côte d'Azur. L'Observatoire de la Côte d'Azur regroupe et pilote les activités de recherche en sciences de la Terre et de l'Univers d'Université Côte d'Azur. Ses missions sont la recherche, l'observation, la formation et la diffusion des connaissances dans ces domaines.

L'Observatoire de la Côte d'Azur est co-tutelle de trois unités mixtes de recherche ( Artemis, Géoazur, Lagrange) et d'une unité de service (Galilée) qui exercent leurs activités sur quatre sites répartis entre le site historique du Mont-Gros et le campus de Valrose à Nice, le campus du CNRS à Sophia Antipolis, et le site instrumenté du plateau de Calern sur les communes de Caussols et Cipières.

 

IMPORTANT DATES

January, 2018: First announcement. Registration is OPEN
April 30th, 2018: Deadline for financial support request check here for information
June 30th, 2018: Deadline for registration and abstract submission
October 1st, 2018: The workshop starts

 

SCIENTIFIC RATIONALE

The search for signs of life elsewhere in the Universe requires the remote detection of molecules in the atmospheres of exoplanets. Progress with high-resolution spectroscopy with ground-based instruments has led to detections of atomic (Na) and molecular species (CO, H2O) in the atmospheres of hot giants. From the Doppler shift of the planet spectral lines, it has been possible to constrain atmospheric winds, planet rotation, and even the orbital inclination of non-transiting planets. Not only do current detections inform us about the composition and thermal structure of planetary atmospheres, but they also have the potential to constrain the universal mechanism for planet formation (preferential birth location of the planet in its protoplanetary disc, etc.). However, the planet-hosting stars are covered with a complex and stochastic patterns associated with convective heat transport (i.e., granulation). The resulting stellar activity, associated to other phenomena such as magnetic spots and rotation, can bias the detection and characterization of exoplanetary signals. The synergy between stellar physics and planetology is essential to interpret and quantify exoplanet spectra.

The advent of new high-resolution spectrographs at large and medium-size telescope facilities (CRIRES+, GIARPS, SPIRou, IGRINS, iSHELL, etc...) with unprecedented throughput and spectral range will extend the sample of exoplanets that can be targeted with this technique towards cooler and smaller planets. Given the high degree of complementarity between high-resolution spectroscopy from the ground and low-resolution spectroscopy from space, coupling measurements from the two techniques will be crucial for the next stage of comparative exo-planetology, especially on the targets found by the TESS mission. When finally implemented at Extremely Large Telescopes, high-resolution spectroscopy will have the potential to identify biomarkers in the atmospheres of terrestrial planets in the habitable zone of M-dwarf stars.

INVITED SPEAKERS

Atmospheric characterization of exoplanets at high spectral resolution and its synergy with low- resolution spectroscopy
Eliza Kempton - Grinnell College (USA)
Michael Line - Arizona State University (USA)
Ignas Snellen - University of Leiden (The Netherlands)

Stellar spectra as background sources in exoplanet characterization: modeling and understanding the star to avoid spurious noise and contextualize the system
Remo Collet - Aarhus University (Denmark) --- to be confirmed
Jean-Francois Donati - IRAP (France) --- to be confirmed
Raphaëlle Haywood - CfA Harward (USA)

A roadmap towards detecting biomarkers: Earth analogs
Christophe Lovis - Geneva Observatory (Switzerland)
Victoria Meadows - University of Washington (USA)
Clara Sousa-Silva - MIT (USA)

L’unité de recherche Artemis réunit des spécialistes des lasers et du traitement du signal, des mathématiciens, des astrophysiciens des objets compacts pour créer des antennes d’un type nouveau, détectant des ondes gravitationnelles : Virgo, LISA, Einstein Telescope.

La recherche sur les lasers de puissance, les mesures de distance extrèmes et la modélisation de sources cosmiques et de leurs signaux, les études multimessagers utilisant les ondes gravitationnelles sont au coeur de l’activité d’Artemis.

Le laboratoire Géoazur est une unité de recherche pluridisciplinaire composée de géophysiciens, de géologues, et d’astronomes se fédérant autour de grandes problématiques scientifiques : les aléas telluriques (sismiques, gravitaires et tsunamigéniques) et les risques associés, la dynamique de la lithosphère et l’imagerie de la Terre, la géodésie-métrologie de la Terre et de l’Univers proche.

Le laboratoire J.-L. LAGRANGE est un laboratoire pluridisciplinaire qui regroupe des équipes d’astrophysique (planétologie, physique stellaire et solaire, galaxies et cosmologie), de mécanique des fluides, de traitement du signal et images et d’instrumentation pour l’observation astronomique à haute résolution spatiale et haute dynamique.
Des compétences transverses en calcul à haute performance sont au coeur des capacités des équipes pour développer de nouvelles théories et modèles et de les confronter à des observations acquises sur les grands télescopes au sol et dans l’espace.

Focus sur....la grande coupole !
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Un peu d'histoire .... 💭
Édifié entre 1881 et 1887 sur une ligne de crête orientée nord-sud culminant à 375 m d’altitude, l’observatoire historique occupe un domaine de 35 hectares qui surplombe la ville de Nice et s’inscrit dans une chaîne de monts reliant la côte méditerranéenne au parc du Mercantour. Premier observatoire français implanté à la suite d’une campagne de Lire plus
Focus sur... le grand méridien !
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Un peu d'histoire .... 💭
Édifié entre 1881 et 1887 sur une ligne de crête orientée nord-sud culminant à 375 m d’altitude, l’observatoire historique occupe un domaine de 35 hectares qui surplombe la ville de Nice et s’inscrit dans une chaîne de monts reliant la côte méditerranéenne au parc du Mercantour. Premier observatoire français implanté à la suite d’une campagne de Lire plus
Focus sur... la coupole Charlois !
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Un peu d'histoire .... 💭
Édifié entre 1881 et 1887 sur une ligne de crête orientée nord-sud culminant à 375 m d’altitude, l’observatoire historique occupe un domaine de 35 hectares qui surplombe la ville de Nice et s’inscrit dans une chaîne de monts reliant la côte méditerranéenne au parc du Mercantour. Premier observatoire français implanté à la suite d’une campagne de Lire plus