Decades of research on earthquakes have yielded meager prospects for earthquake predictability: we cannot predict the time, location and magnitude of a forthcoming earthquake with sufficient accuracy for immediate societal value. Therefore, the best we can do is to mitigate their impact by anticipating the most “destructive properties” of the largest earthquakes to come: longest extent of rupture zones, largest magnitudes, amplitudes of displacements, accelerations of the ground. This topic has motivated many studies in last decades. Yet, despite these efforts, major discrepancies still remain between available model outputs and natural earthquake behaviors. Here we argue that an important source of discrepancy is related to the incomplete integration of actual geometrical and mechanical properties of earthquake causative faults in existing rupture models.
Depuis 2003, les éphémérides planétaires européennes INPOP développées en collaboration à l'Observatoire de la Côte d'Azur (Géoazur) et l'observatoire de Paris (IMCCE) sont une référence mondiale et ont permis en 2016 de déterminer la position probable de la 9ième planète du système solaire.
Grâce aux perturbations induites par cette planète encore non observée depuis la terre sur l'orbite de Satune, A. Fienga, J. Laskar et leurs équipes ont pu délimiter la zone de l'espace qui pourrait abriter la dernière planète géante de notre système solaire.
Cette planète grosse comme 10 fois la masse de la terre avait été proposée par (Batygin and Brown 2016) comme pouvant expliquer la distribution très particulière des objets de Kuiper observés depuis plusieurs années. Or jusqu'à présent aucun objet aussi massif n'a été observé à une distance de 700 unités astronomiques comme cela a été proposé par (Batygin and Brown 2016). Pour permettre de reproduire la distribution observée des objets de Kuiper, l'orbite de cette planète doit être très excentrique (e=0.6) et inclinée (i=30) mais aucune contrainte sur la position actuelle de l'objet n'est proposée par l'étude de (Batygin and Brown 2016).
Le projet REMAKE, soutenu par l'ANR, propose le développement d’un modèle de prédiction probabiliste des forts séismes en Equateur et au Nord-Pérou, une région régulièrement frappée par des séismes destructeurs comme celui de Pedernales le 16 Avril 2016. L’originalité de l'approche est d’intégrer l’ensemble des connaissances sur la zone - tectoniques, sismologiques, géodésiques, sociétales -, pour quantifier le potentiel sismogène des principales failles et anticiper les risques sociétaux et environnementaux.
Image : Ville de Quito
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