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L’Observatoire de la Côte d’Azur

est un EPSCP Grand Etablissement, « établissement composante » d'Université Côte d'Azur. L'Observatoire de la Côte d'Azur regroupe et pilote les activités de recherche en sciences de la Terre et de l'Univers d'Université Côte d'Azur. Ses missions sont la recherche, l'observation, la formation et la diffusion des connaissances dans ces domaines.

L'Observatoire de la Côte d'Azur est co-tutelle de trois unités mixtes de recherche ( Artemis, Géoazur, Lagrange) et d'une unité de service (Galilée) qui exercent leurs activités sur quatre sites répartis entre le site historique du Mont-Gros et le campus de Valrose à Nice, le campus du CNRS à Sophia Antipolis, et le site instrumenté du plateau de Calern sur les communes de Caussols et Cipières.
OCA NI 010665 W187 PROTECTION OBS ASTRO ET GEOPHY  

Rapport du groupe de travail sur la protection des observatoires astronomiques et géophysiques : Grasse, 18 nov. 1984  
Auteurs  : Comité des Etudes et Rapports (CODER) ; Jean Kovalevsky  ; François Barlier  (1984)
Editeur : Imprimerie Gauthier Villars (Paris)
Date : 1984.
Pagination : 1 vol. (102 p.) ; 27 cm.
Cote : W187 (OCA-NI-010665)
Mis en ligne le : 06/03/2024 (programme de numérisation 2023-2024)
Origine du document  : Observatoire de la Côte d'Azur, Bibliothèque de Nice Mont-Gros

Condition d'accès : doc. numérisé à des fins de conservation uniquement (accès réservé au service bibliothèque) .
Seule la version papier est consultable en lecture sur place

 

Description : Les nuisances contre les conditions d'observation dans les observatoires s' intensifient. L'objet de cette étude est d'analyser ces nuisances, d'en donner les valeurs maximales admissibles et de poser les bases scientifiques d'une législation. Le CERGA et l'Observatoire de Nice sont notamment cités en exemple. Le rapport est composé de 4 parties : "[1.] Le rapport de synthèse, qui résume l'ensemble des études et des conclusions et présente les recommandations du groupe de travail - [2.] L'étude technique proprement dite dans laquelle on examine successivement les perturbations dues à la lumière parasite, les sources de chaleur, les perturbations radio-électriques et magnétiques, les vibrations, les nuisances chimiques, le problème des stations automatiques et les perturbations pouvant être causées par l'exploitation de l'espace - [3] Un recensement des actions déjà menées en France et à l'étranger pour la protection des sites. - [4] Une étude des problèmes juridiques posés par la protection des sites scientifiques." (introduction p.6)

 

Sommaire détaillé : PARTIE 1. Introduction (p.5) - PARTIE 2. Rapport de synthèse (p.9) - [2.1] Introduction (p.9) - [2.2] Etude des principales nuisances (p.10) - [2.3] Actions déjà menées (p.15) - [2.4] Aspects juridiques (p.16) - [2.5] Recommandations (p.17) - PARTIE 3. Etude technique (p.21) - [3.1] Lumière parasite [p.21] - [3.2] Sources de chaleur (p.26) - [3.3] Perturbations radio-électriques (p.28) - [3.4] Perturbations magnétiques (p.34) - [3.5] Vibrations (p.36) - [3.6] Nuisances chimiques (p.38) - [3.7] Stations automatiques de géophysique (p.40) - [3.8] Nuisances introduites par les satellites (p.42) - PARTIE 4. Actions déjà menées et situation actuelle (p.45) - [4.1] Introduction (p.45) - [4.2] Actions menées en France (p.45) - [4.3] Actions menées à l'étranger (p.49) - PARTIE 5. Aspects juridiques (p.53) - [5.1] Définition des moyens juridiques nécessaires (p.53) - [5.2] Recensement de la règlementation (p.54) - [5.3] Classification des nuisances (p.55) - [5.4] Actions à entreprendre pour assurer la protection des installations scientifiques (p.56) - Annexes : 1. Rapport et recommandations de la Commission 50 de l'UAI (p.63) - 2. Résolution de la Commission Internationale de l'éclairage sur la protection des sites astronomiques (p.69) - 3. Brouillage par un émetteur ayant une bande de fréquence commune (p.71) - 4. Seuils et brouillage des observations radioastronomiques (p.73) - 5. Protection des observatoires de radioastronomie (p.77) - 6. Evolution de la pollution lumineuse à l'Observatoire de Haute Provence (p.81) - 7. Projet de loi instituant des servitudes dans l'intérêt de l'Observatoire de Haute Provence (p.85) - 8. Arrêté préfectoral du 10 novembre 1981 concernant les carrières de Gourdon (p.87) - 9. Arrêté municipal de la ville de Tucson du 5 juin 1972 (p.93) - 10. Exemple de projet de loi relative à la création de servitudes de protection des installations scientifiques (p.97) - 11. Exemple de projet de loi relative à la création d'une servitude de droit public au profit des stations automatiques en géophysique (p.101) - 12. Liste des documents déposés à l'Académie des Sciences (p.102).

 

Note générale : "Le rapport a été établi par un groupe de travail animé par M. J. Kovalevsky, correspondant de l'Académie et comprenant M. Ch. Fehrenbach,..., M. Durand-Delga, P. Encrenaz et J.L. Le Mouel,... assistés de MM. F. Barlier et M. Bouquerel. Une commission élargit comprenait, en outre, MM. Blum, Boischot, Cayrel, Cornet, Gay, Mégie, Parise, Poumeyrol, Rösch, Rossignol, Rosolen, Rozelot, Sakuma, Schneider, Thué, Valtier et Waldteufel."(introduction p. [5]) -- Référence au CERGA et à l'obs. de Nice : p.15 ; p.46-47 ; p.87 et s. (projet d'urbanisation du vinaigrier en 1975 ; projet d'installation d'une carrière et usine de concassage en 1978 ; annexe 8 "arrêté préfectoral du 10 nov. 1981 sur les carrières de Gourdon)

 

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L’unité de recherche Artemis réunit des spécialistes des lasers et du traitement du signal, des mathématiciens, des astrophysiciens des objets compacts pour créer des antennes d’un type nouveau, détectant des ondes gravitationnelles : Virgo, LISA, Einstein Telescope.

La recherche sur les lasers de puissance, les mesures de distance extrèmes et la modélisation de sources cosmiques et de leurs signaux, les études multimessagers utilisant les ondes gravitationnelles sont au coeur de l’activité d’Artemis.

Le laboratoire Géoazur est une unité de recherche pluridisciplinaire composée de géophysiciens, de géologues, et d’astronomes se fédérant autour de grandes problématiques scientifiques : les aléas telluriques (sismiques, gravitaires et tsunamigéniques) et les risques associés, la dynamique de la lithosphère et l’imagerie de la Terre, la géodésie-métrologie de la Terre et de l’Univers proche.

Le laboratoire J.-L. LAGRANGE est un laboratoire pluridisciplinaire qui regroupe des équipes d’astrophysique (planétologie, physique stellaire et solaire, galaxies et cosmologie), de mécanique des fluides, de traitement du signal et images et d’instrumentation pour l’observation astronomique à haute résolution spatiale et haute dynamique.
Des compétences transverses en calcul à haute performance sont au coeur des capacités des équipes pour développer de nouvelles théories et modèles et de les confronter à des observations acquises sur les grands télescopes au sol et dans l’espace.

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